Rupture
Un souffle d’air chaud
Caresse sensuelle sur ma peau
Le temps défile au galop
Je suis restée à quai
Complètement désarçonnée (Valentyne)
Seule et désemparée
Fragile et solitaire
Les cheveux dans les yeux
des larmes sur mes joues (Pierrôt Baton)
Le cœur en chiffonnade
Il ne reviendra pas (Valentyne)
La rame s’est éloignée
Le chagrin m’a dévastée
« Chaque homme est seul et tous se fichent de tous et nos douleurs sont une île déserte ». Albert Cohen
Publié le 31/05/2012, dans Ecriture, quelques mots..., et tagué métro, rupture. Bookmarquez ce permalien. 3 Commentaires.
Un beau poème fait à plusieurs si j’ai bien compris. 😀
Superbe votre poème à plusieurs mains !
Coucou , et si vous rajoutiez deux vers cériat et Zoé ? Moi je fais une petite pause parce que deux vers ça va ….. Vous connaissez la suite
Bon dimanche 🙂